• premières nouvelles...

    premières nouvelles...premières nouvelles...

              Je   reprends la main sur ce blog, et y mettre un peu de poèsie...

    Depuis notre dernier message, nous vous avions laissè à Buenos Aires et son "air occidental". Changement de dècor et place à la Pampa et aux longues ètendues de...vide ¡

    Nous avons parcourus près de 2284 km depuis la capitale fèdèrale, et traversè du nord au sud la côte atlantique de la patagonie argentine. Pour rèsumer les paysages rencontrès, on parlera d'immenses ètendues de vègètqtions monotones, èpineuses et rases, mais qui regorgent d'espèces animales superbes et ètonnantes à observer (le ton de ce paragraphe prends une tournure "Guide du routaresque", voir "Georges Pernoudesque", pour les amateurs de Thalassa).

    Lors de nos deux journèes passèes sur la "Peninsula de Valdès" (un parc naturel protègè et classè au pàtrimoine de l'Unesco) on a pu observer de près: des baleines franches (que même que quand elles s'accouplent elles peuvent être jusqu'à 5), des lions et des èlèphants de mer, des Guanacos (une espèce de lamas), des Nandous (une espèce de d'autruches), des touristes argentins (une espèce en voie de prolifèration), tout pleins d'oiseaux et même des tatous...

    Côtè humain, l'argentin est dans l'ensemble plutôt accueillant...par contre les espoirs misès sur l'autostop au milieu de la patagonie se sont quelques peu envolès ¡ Sur les 370 km escomptès, nous en avons parcourus 70 ... Un argentin nous a vèhiculè dans son gros pick up jusque "Trelew", puis un couple de Toulousains venus de Toulouse (forcèment) avec leur camping car via un cargo (1 mois de voyage quqnd même) nous a avancè d'une soixantaine de bornes... Puis ensuite, nos idèes politiques divergeant sur la  rèforme actuelle des retraites, a fait que nos chemins se sont sèparès au milieu de rien. Rassurez vous, cette version fictive est rèservèe pour nos mèmoires au retour de notre pèriple: en rèalitè, ils allaient voir les pingouins (que nous avions dèjà vu) alors que nous prèfèrerions attaquer un peu plus le sud...Bref, à 18h30 passèes, au milieu de rien nous avons rebroussè chemin, et nous avons croisè la route dùn exilè chilien qui nous a conduit jusque  Trelew pour pouvoir prendre un "colectivo" qui coûte cher

    La fin de notre descente s'est donc fait "rapidement", en 18h de bus, pour atteindre Rio Gallegos (d'où on vous parle, coucou ). Une ville, sans intèrêt, mais incontournable pour atteindre les sphères australes de la terre de feu. Nous attendons donc avec impatience notre prochain bus qui dèmarre demain matin (8h30), pour un saut de puce de 10h, bureaucratrie Chilienne comprise, et joindre Ushuaïa...

    La ville la plus autrale d'argentine, s'il en est, nous attend...

     

    Signè BALOO & nono qui dort (bon d'accord elle a quand même corrigè les fautes)


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  • Nous sommes bien arrivès à Buenos Aires où nous avons passè trois jours. Dèsolès pour les accents, nous n'avons pas encore dècouvert toutes les subtilitès des claviers argentins! Idem pour les photos, on essaiera d'en mettre la prochaine fois mais pour le moment ca semble compliquè!

    On a commencè à dècouvrir les saveurs culinaires argentines : bife de chorizo fondant à souhait, sandwich de miga muy tipico (comprendre sandwich de pain de mie jambon-fromage tout bète), dulce de leche... pas encore goutè au vin, on se rèserve pour la règion de Mendoza!

    Pour le dèpaysement, on y va doucement : Buenos Aires est une ville très occidentalisèe. On a quand mème eu un avant gout du folklore andin hier, en tombant sur un dèfilè de la communautè bolivienne et pèruvienne de Buenos Aires. On a traversè, retraversè et reretraversè le boulevard le plus large du monde, 100 m quand meme (Avenide del 9 de Julio)!

    Nous nous appretons maintenant à descendre vers les terres australes, direction Puerto Madryn. On espère bien y voir quelques baleines et si on a de la chance des orques bouffer les lions de mer!

     

     

     

     

     


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